CCUPEKA as an organization arose from a desire by regional (Ontario, Québec, the Maritimes and the West) organizations to form a national organization to share common issues, concerns and solutions to problems. An initial Constitution for the group, dated March 10, 1971 identified the group as the Canadian Association of Deans and Directors of Faculties, Schools and Departments of Physical Education. Sometime later the acronym CCUPEA (Canadian Council of University Physical Education Association) was adopted. Finally, in 1995 at the annual May meeting in Québec City, the present name CCUPEKA was adopted by the organization.
Early meetings often revolved around the Vanier Cup football championship festivities in Toronto. The initial meetings have been characterized as “very much social rather than business oriented”. However, that approach changed very quickly perhaps due to the challenges facing our field. These early meetings focused on institutional reports and information sharing. By the early 1980’s the focus of the meetings was very much business. An early and ongoing issue was the initiative from the organization to lobby the national granting agencies (NSERC, SSHRC) to view our faculty members as legitimate researchers rather than simply as “ball bouncers” in the gym. There was so much concern around this issue that representatives from the granting agencies were invited to the annual meeting. While there was a will to be more politically active in lobbying for physical activity, etc., the informality of the organization and the fact everyone had a full-time job at their own institution, did not lend itself well to a sustained lobbying effort. From time to time a lobbying initiative did arrive, such as the “President’s Forum on University Sport”. The organization has taken the initiative to provide the funds to make these events happen.
Over the past thirty years the organization continued to evolve and during the early 1990’s the change to the name of “Kinesiology” was a focus as was the move to accreditation of our physical education and kinesiology programs. Most recently our efforts at lobbying on behalf of physical activity and health continues and the name of the organization has been an ongoing topic for discussion. Presently CCUPEKA represents 35 institutions from coast to coast across Canada.
En tant qu’organisation, le CCAUÉPK surgit d’un désir des organisations régionales (l’Ontario, le Québec, les Maritimes et l’Ouest) de former une organisation nationale afin de partager les enjeux, inquiétudes et solutions communes aux problèmes rencontrés. Une constitution initiale, datée du 10 mars 1971, identifiait le groupe comme étant l’Association canadienne des doyens et directeurs de facultés, écoles et départements d’éducation physique. Quelque temps plus tard, l’acronyme CCAUÉP (Conseil canadien de l’association universitaire de l’éducation physique) fut adopté. Finalement, lors de la rencontre annuelle tenue dans la ville de Québec en mai 1995, le nom présentement employé de CCAUÉPK fut adopté par l’organisation.
Les premières réunions portaient souvent sur des activités entourant le championnat de football de la Coupe Vanier à Toronto. Les premières réunions furent qualifiées « plus comme des rencontres sociales que des rencontres d’affaires ». Toutefois, cette approche a rapidement changé en raison des défis auxquels faisaient face notre domaine. Ces premières assemblées étaient centrées sur des rapports institutionnels ainsi que le partage d’information. Au début des années 1980 les réunions étaient bien rendues des rencontres d’affaires. Un des questions initiales et continues portait sur l’initiative de l’organisation de solliciter les agences subventionnaires nationales (CRSNG, CRSH) afin de valoriser nos membres facultaires en tant que chercheurs légitimes plutôt que simplement en tant que « videurs de ballons » dans les salles d’entraînement. Ce point leur tenait tellement à cœur que des représentants des agences d’octroi furent invités à la réunion annuelle. Quoique qu’il y avait une volonté de promouvoir l’activité physique à travers les voies politiques, l’organisme était encore trop informel et puisque chaque membre avait un emploi à temps plein à son propre établissement il était difficile de soutenir les pressions. De temps en temps une initiative s’est prise, comme dans le cas du « Forum du président sur le sport universitaire ». L’organisation a pris l’initiative de fournir les fonds afin de permettre à cet événement d’avoir lieu.
Au cours des trente dernières années, l’organisation a continué à évoluer et au début des années 90, le changement du nom à la « kinésiologie » était au centre de ses préoccupations, tout comme l’était l’agrément de nos programmes d’éducation physique et de kinésiologie. Les efforts de sollicitation de l’activité physique et de la santé se perpétuent toujours et les discussions sur le titre de l’organisation se poursuivent. Le CCAUÉPK compte présentement 35 établissements à travers le Canada.